Je préfèrerais parler de Roger dans d’autres occasions. Je serais plus loquace et précis pour honorer en lui le dévouement à nul autre pareil qu’il a montré aux intérêts de ses étudiants, de ses collègues, de ses camarades ou la grande passion avec laquelle il a travaillé pendant de si longues années pour former plusieurs générations.
Séance tenante, parler de Roger, c’est mettre des mots sur mes maux. Des maux, dis-je, pour répéter Paul Eluard. « Nous voici au bord du vide puisque nous cherchons partout le v