Vendredi matin, dès potron-minet, une foule compacte se bouscule, se chahute devant le bureau du consulat dominicain à l’entrée de la rue Rigaud à Pétion-Ville dans l’espoir de décrocher un visa, synonyme de droit d’entrée légalement et régulièrement en République voisine.
« Aux premiers jours de chaque mois, premiers demandeurs et racketteurs font la ligne dès 3 heures du matin ou passent la nuit devant le consulat. Ces raquetteurs obtiennent les coupons gratuitement et les vendent à 50 dollars l’unité », confie une s
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