Depuis 2015, le pouvoir central, en particulier le ministère de l’Agriculture, ne met pas à la disposition de l’usine sucrière Jean Dominique de Darbonne les moyens nécessaires à son fonctionnement. Pour la réouverture de l’usine, plusieurs solutions sont proposées, parmi elles, sa privatisation. Des citoyens de la société civile apportent un nouveau son de cloche : confier à Léogâne la gestion de l’usine.
Dans une lettre adressée au président de la République Jovenel Moïse, des institutions publiques et privées concern
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