Il y a deux phases dans une promesse, explique le responsable de communication de l’ED’H. « Il y a la promesse elle-même et l’appropriation de cette promesse par l’État dans sa capacité ». Pour Jose Joachim Davilmar, quand on promet, en tant que chef, il faut se demander si l’État a la capacité technique et financière de s’approprier le projet.
Il y a une constance dans la pratique politique nationale. C’est que le politicien haïtien dit ce que vous avez envie d’entendre. Et c’est le cas de Jovenel Moïse, concède Jose J