Mak pye solèy est un poème fleuve qui retrace un itinéraire : la naissance ( « se nan mitan lari Pòtoprens / anba yon lalin 7 pwent / lonbrit mwen te koupe »), le parcours, le présent. Au-dessus de la marche, pour fixer les arrêts, les repères, les relances : le soleill avec lequel il faut ruser pour trouver son chemin : « mak pye m twonpe solèy », même si « mwen se pitit solèy ». En appelant au secours les étoiles et, forcément celle que les enfants lui opposent : la lune. Le so