«Aujourd’hui, de nombreuses personnes essaient d’orienter ce massacre. Je me demande s'ils sont soudoyés pour cacher la vérité. Je viens de décrire au juge d’instruction ce qu’il s’est passé du 12 au 13 novembre 2018. Si les autorités policières et judiciaires avaient pris leurs responsabilités, on n'aurait pas parlé aujourd’hui des 13 et 14 novembre», a d’entrée de jeu déclaré Arnel Bélizaire, après avoir passé trois heures au bureau du juge d’instruction en charge du dossier, Chavannes Étienne.
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