Infrastructure/ Service public

Des écoles nationales traitées en parents pauvres

D'une école nationale à l'autre, le tableau n'est pas trop différent: insuffisance de mobiliers, locaux en mauvais état... A l'occasion de la rentrée scolaire de l'année académique 2005-2006, les responsables des écoles nationales Virginie Sampeur et Lespinasse Daguesseau souhaitent que l'Etat haïtien vienne à leur secours.

Lima Soirélus
Par Lima Soirélus
14 sept. 2005 | Lecture : 2 min.
Travailler au prix du sacrifice L' Ecole Nationale Virginie Sampeur est logée depuis près de cinq (5) ans, à la rue Piquant , dans un bâtiment en bois vermoulu qui n'a aucune caractéristique d'un établissement scolaire. L'institution dispose de six (6) salles qu'on ne peut pas vraiment appeler salles de classe. Il n'y a pas d'électricité et en regard de la structure de certaines des salles de classe, il n'y a pas de clarté, donc l'apprentissage se fait dans des conditions difficiles. L'entrée principale de l'établissement est utilisée
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