Le plus grand bidonville de la capitale est livré aux bandits. Dans les trente-quatre (34) quartiers de ce goulag des Caraïbes, ce camp de concentration, ce no mans land, des fortes têtes, des bandits redoutables font régner leur loi. Et c'est connu depuis longtemps. Ce n'est pas un scoop. Dans le mépris absolu des lois de la République, des hommes lourdement armés, violent, entreposent des objets et véhicules volés, tuent, kidnappent et y séquestrent leurs victimes. Avec l'intensification des opérations policières dans d'autres quartiers ch
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