Les autorités n’ont pas réussi à faire baisser le niveau de violence dans le pays. La période de janvier à mars 2019 est marquée par le renforcement de l’emprise des gangs armés qui défient la police et la justice dans certains quartiers populaires. Le pays a connu deux semaines de mouvements de revendications entachés de violence. Cette violence en constante évolution reflète les chiffres présentés par la CE-JILAP : 100 personnes tuées par balle, 4 par arme blanche, 10 dans des accidents de la circulation, 1 suicide et 6 autres