À quelque chose, malheur est bon, dit-on. Un jour d’été 2018, de retour du Mexique, j'ai dû passer par l'aéroport international Tocumen à Panama pour rentrer à Port-au-Prince via un vol de la Copa Airlines. L’heure du vol avançait, j'ai vu arriver dans l'enceinte de l'aéroport des dizaines de compatriotes à la porte d'embarquement. Finalement et sur le fil de leurs conversations, j'ai vite compris que ce flot venait du Brésil et du Chili. À mesure qu'ils s'approchaient d'Haïti, ils étaient encore plus excités. Ils parlaient
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