Cinéma

Quand Jacques Villeret donne à voir la stature de Georges Mandel

Le plus douloureux est qu'en Histoire on ne peut rien retrancher.

Jean Claude Boyer
Jeudi 18 août 2005
Par Jean Claude Boyer Jeudi 18 août 2005
26 août 2005 | Lecture : 6 min.
Le plus douloureux est qu'en Histoire on ne peut rien retrancher. C'est la conclusion à laquelle j'aboutis après visionnement, dans la soirée du mercredi 17 octobre 2005 sur la TNH, du film sur la fin tragique de Georges Mandel (1885-1944), l'homme politique français. Ministre de l'Intérieur, l'homme, d'une remarquable lucidité, voit venir la débâcle. A la sortie d'une réunion de Cabinet, il fait les cent pas dans une ruelle en compagnie d'un collègue. Ce dernier, ,confortablement installé dans la fausse assurance que l'Allemagne ne mettra poin
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