Le plus douloureux est qu'en Histoire on ne peut rien retrancher. C'est la conclusion à laquelle j'aboutis après visionnement, dans la soirée du mercredi 17 octobre 2005 sur la TNH, du film sur la fin tragique de Georges Mandel (1885-1944), l'homme politique français. Ministre de l'Intérieur, l'homme, d'une remarquable lucidité, voit venir la débâcle. A la sortie d'une réunion de Cabinet, il fait les cent pas dans une ruelle en compagnie d'un collègue. Ce dernier, ,confortablement installé dans la fausse assurance que l'Allemagne ne mettra poin
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