Le paysage d’Handgod Abraham

« Femme de trottoirs/ La rue est ton jour / Huit mars n’est qu’un œil/ Qui lorgne ton passage Et qui fuit ton nombre sale/ Ton odeur de soleil/ Ton cri misérable/ De paille sèche piétinée/ Seuls les trottoirs/ De tes fesses/ De tes pieds/ Supportent tes fardeaux/ Femme de trottoirs «Veux-tu épouser ma poésie aujourd’hui ? » Ces vers sont les cris du poète Handgod Abraham pour les femmes de trottoirs, « Les immortelles », dans son recueil de poèmes « Au paysage de ma muse ».

« Femme de trottoirs/ La rue est ton jour / Huit mars n’est qu’un œil/ Qui lorgne ton passage

Et qui fuit ton nombre sale/ Ton odeur de soleil/ Ton cri misérable/ De paille sèche piétinée/

Seuls les trottoirs/ De tes fesses/ De tes pieds/ Supportent tes fardeaux/ Femme de trottoirs

«Veux-tu épouser ma poésie aujourd’hui ? » Ces vers sont les cris du poète Handgod Abraham pour les femmes de trottoirs, « Les immortelles », dans son recueil de poèmes « Au paysage de ma muse

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