La plupart d’entre eux, à bout de souffle, sont contraints de s’arrêter en chemin. D’aures, malgré tout, veulent encore garder l’espoir, même lorsqu’ils sont hantés par l’idée d'être placés derrière la porte, en raison de cette insolvabilité qui dure plus d’un an. 28 ans, Loute Millianne, malvoyante, figure parmi les quatre autres qui avaient choisi l’Université de Port-au-Prince pour entammer des études supérieures. « C’est avec d’énormes difficultés que nous sommes parvenus à faire le choix de cours. Il nous faut à chaque fois l’interve
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