Ce nouveau cas est d'une grande valeur scientifique puisqu'il symbolise «the proof of concept». C'est-à-dire, pour la deuxième fois la même technique donne un résultat similaire, il s'agit d'une greffe de moelle chez des patients vivant avec le VIH/SIDA.
À juste titre, en début de semaine, le New York Times parle d'un «jalon dans l'épidémie mondiale de SIDA».
«La nouvelle arrive presque douze ans après le premier patient dont on sait qu’il est guéri, un exploit que les chercheurs tentent depuis longtemps, sans succ