À la fin de la transition, Préval ne semble pas trop intéressé à la politique. Voyant en lui celui qui pourrait calmer l’ardeur des partisans d’Aristide qui réclament son retour, la communauté internationale le presse de retourner aux affaires. L’insistance des représentants des pays dits « amis D’Haïti » pour la candidature de Préval à la présidence était en soi un triomphe diplomatique pour ce dernier.
Une fois réélu pour un second mandat, l’auteur pense que la machine diplomatique du président Préval piétine. So