La libération de Michaël Estéra, qui a été appréhendé en compagnie des sept mercenaires (5 Américains, 1 Russe et 1 Serbe) lourdement armés à Port-au-Prince, est dénoncée par le Réseau national de défense des droits humains (RNDDH) comme un moyen d’étouffer définitivement l’affaire. Détenu à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) depuis le dimanche 17 février, Michaël Estéra, présenté comme chauffeur et interprète des étrangers, était le seul qui pouvait éclairer la lanterne de la justice haïtienne sur ce dossier. Alors,