Intervenant comme perochallenger appartenant au groupe « Nou p ap dòmi », Emmanuela Douyon estime que le président ne peut pas lancer le dialogue sans clarifier, d'entrée de jeu, sa part de responsabilité dans ce qui lui est reproché dans le rapport de la Cour supérieure des comptes et du contentieux administratif (CSC/CA) faisant mention du nom du chef de l’État dans un dossier qui doit être clarifié. En tant que chef d’Etat, il doit être au-dessus de tout soupçon. Il doit donner le signal clair et montrer qu’il mérite la c
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