J’ai lu et relu la préface de Maurice Cadet sur « Dérives des cerfs-volants » de Georges Greffin. L’œuvre prend une orientation nouvelle, à mes yeux. J’y ai décelé le côté humain de sa poétique.
Le médecin poète a bouleversé l’ordre usuel de la poésie. Tantôt il monte dans les hautes sphères de la création, tantôt il se réfugie dans la réalité courante. À chaque étape, il s’invente une manière de rendre ce que poésie veut dire en ce présent siècle :
« Nous vivons dans une « végétation de curi