L’économie pâtit déjà du mouvement anti-Jovenel Moïse   

Il fallait longer les principales rues des communes de Delmas, de Pétion-Ville, de Tabarre ou de Port-au-Prince pour se rendre du niveau de notre vulnérabilité et des privations de toutes sortes qui caractérisent l’Haïti.

Dieudonné Joachim
Par Dieudonné Joachim
18 févr. 2019 | Lecture : 4 min.

Il fallait longer les principales rues des communes de Delmas, de Pétion-Ville, de Tabarre ou de Port-au-Prince pour se rendre du niveau de notre vulnérabilité et des privations de toutes sortes qui caractérisent l’Haïti. Les 11 jours de paralysie générale du pays ont laissé des traces.  Chacune de ces secousses plonge davantage Haïti dans les bas-fonds de la pauvreté. Ce lundi 18 février 2019 le pays en lambeaux voit la première éclaircie après des journées de manifestations violentes un peu partout. Les immondices jonchent quas

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