De par son positionnement, à quelques encablures du Palais national, l'Hôpital de l'université d'Etat d'Haïti (HUEH) est l'une des plus grandes victimes des dommages collatéraux. D'une part, il y a les manifestants qui souhaitent se rapprocher du palais national, d'autre part, il y a la répression policière qui s'ensuit avec une quasi-spontanéité. Vendredi 8 février, certains patients hospitalisés dans des services comme la pédiatrie, la médecine interne ont été délocalisés en vue d'échapper aux effets néfastes des gaz lacrymogènes la