Roland Léonard
Après une semaine de bonheur et de rêves sonores, la treizième édition du festival international de jazz de Port-au-Prince a été clôturée dans l’euphorie et les regrets à la fois, le samedi 26 janvier, au Karibe Hôtel, scène Heineken.
Il fallait bien que cela se termine, sous peine de nous rebuter comme tout ce qui dure trop. Et ainsi, on en garde de merveilleux souvenirs.
L’assistance était dense ce soir-là : circulation difficile dans les petits couloirs serpentant entre les tables ; rang
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