Alex Mercado, un monstre sacré du piano

  La première de ces soirées de concerts de la scène Barbancourt, nous l'avons jugée mi-figue, mi-raisin.

Roland Leonard
Par Roland Leonard
24 janv. 2019 | Lecture : 3 min.

 

La première de ces soirées de concerts de la scène Barbancourt, nous l'avons jugée mi-figue, mi-raisin. À vous avouer, nos raisons sont d'ordre subjectif et préférentiel. En rapport avec la programmation. Il y a un vieux puriste chez nous, et certaines têtes ou un groupe invités n'ont pas eu l'heur de nous enchanter, de nous plaire. Exigences de l'adulte, du gourmet du jazz et de la musique en général.

Mais de la part

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