Personnellement, je n’ai connu Frantz Courtois que tardivement, mais j’ai toujours eu le sentiment qu’on se côtoyait longtemps déjà. À l’automne 2017, un samedi après-midi, il signait dans les jardins du Karibe Convention Center son volumineux roman « Les matins d’Aurore ». Je fis le déplacement en compagnie de Gérard Alexandre. Mon ami Gérard est un amant du livre, un grand et infatigable lecteur. Il se procure tout ce qui sort en fait de livres haïtiens. Une deuxième raison expliquait sa présence à cette séance de dédicace : il se souvient
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