« Les résultats macroéconomiques de 2018 ont été modestes et inférieurs aux prévisions », a d’entrée de jeu signalé la CEPALC, énumérant une croissance du PIB estimée à seulement 1,4% (contre 1,2% en 2017), une poussée inflationniste persistante (14,6% contre 15,4% pour l'année 2017), un important déficit budgétaire (de 6,5% du PIB en 2018 contre 3,9% en 2017), ainsi qu'une augmentation du déficit de la balance courante (de 3,5% du PIB en 2018 contre 2, 9% en 2017), et ajouté à ce sombre tableau une forte dépréciation de la gourde.
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