« Il y a un choix à faire […] On dépense trop dans le fonctionnement [et] pas assez au niveau des investissements », a martelé Kesner Pharel, déplorant que malgré l’augmentation des recettes courantes, l’État consente de moins en moins d’investissements. « Il faut faire mieux, on peut faire mieux et on doit faire mieux car la population ne pourra pas attendre », souligne l’économiste, précisant que seulement 15% des recettes domestiques dans ce budget iront vers les investissements sociaux, contre moins de 10% dans le budget rectificatif. «