Il est 13 h ce lundi 3 décembre quand nous investissons le secondaire 2 de l’Institut Abellard à Léogâne. Des adolescents bien disposés et surtout enthousiastes à l’idée de discuter du VIH nous attendaient. À la question de savoir quelle serait leur nouvelle attitude face à un ami révélé séropositif, les opinions sont nuancées, mais ne sont pas trop divergentes. « Je ne resterais pas près de lui, même pendant une seconde », lance d’emblée ce jeune garçon, l’air gentil. « Si les gens voient que tu es l’ami d’un séropositif, ils vont dire que
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous