À peine désigné par le chef de l’État pour trouver une trêve politique, Jean- Gabriel Fortuné commence par tirer sur tout ce qui bouge, en commençant par le premier ministre. « Le Premier ministre a abordé la question très mal. Ce dernier est choqué d’apprendre que le président de la République a fait choix de moi pour obtenir une trêve. Il est très amer, disant que le président l’a doublé. Ça me peine », a déclaré l’ancien sénateur Jean-Gabriel Fortuné qui, selon certains, apparaît plutôt comme un démineur poseur de bombe.
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