Au milieu des années 1940, les dirigeants du Centre d’art de Port-au-Prince avaient jugé bon d’indiquer les origines sociales des artistes dits naïfs- primitifs qui faisaient cette peinture naturaliste refusant tous les canons académiques. De tels détails ont sûrement servi à soutenir l’idée du « miracle » qui révélait des « artistes potentiels » occupés à des activités très ordinaires. En réalité, ces détails ont eu pour effet d’apporter une justification à leurs « maladresses ». Nous savons que ceci, hélas ! a conduit à l’établissement de
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