Eunice Eliazar et Roland Léonard
Revêtu de noir, avec un couvre-chef de feutre de même couleur, l’étoile montante du piano a tenu une complicité fantastique et simplement hallucinante au-delà des notes et des mots. Sa performance éclectique (technique classique du piano+ blues+chant et tendances latines) semble refléter une puissance qui tend vers quelques musiciens noirs américains du jazz moderne élargi par les conquêtes libertaires. Dans un amalgame de rythmes de jazz-swing, de vaudou, de reggae, un tantinet de valse et de ballade,
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