« Timoun lari yo », « enfants en conflit avec la loi », « ti vòlò nan lari a », « kokorat », tels sont les qualificatifs donnés à ces enfants, majoritairement mineurs, errant dans les rues et qui sont sujets à toute sorte d’influence. Le jeune scénariste et réalisateur Eddy Fleursaint, après avoir resocialisé pendant un temps quelques-uns de ces enfants, s’en est inspiré et en a fait bénéficié le septième art haïtien avec « Sitwayen lari ».
À travers ce court-métrage d’environ 15 minutes, Eddy a présenté les réalités auxquelle
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