En Haïti, on n’a rien à envier aux autres qui ont « Halloween », avec leur bal masqué, leur déguisement, leur citrouille, leur chapeau pointu, et leur quête de sucreries. Chez nous, le 1er novembre, tandis que les chrétiens célèbrent la fête des morts à l’église, d’autres le font au cimetière. Les accoutrements aux couleurs blanches, des individus avec de la poudre sur le corps, des démonstrations rythmiques pour le moins aguichantes, du piment déversé sur les sexes, l’habile maniement du feu, des conversations aux voix nasillardes, du « cla