Beaucoup de nos lecteurs se reconnaîtront probablement dans l’existence que Nicolas Mathurin a menée dans son Saint-Marc natal entre les années 70 et 80. L’avant-dernier d’une fratrie de 9 enfants garde en mémoire cette époque où sa mère, madan sara de profession, multipliait les petits commerces, bossait parfois chez les gran fanm de la cité de Nissage Saget pour s’occuper d’eux. Cette femme potomitan était seule dans son combat perpétuel à chercher le jour puisque son conjoint était mort depuis longtemps.
Le Saint-Marcois, qui a fait
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