L’abstraction en Haïti : Jacques Gabriel et Philippe Dodard

Dans des notes réunies sous le titre « L’abstraction caribéenne : une abstraction divergente ? » et publiées sur le site de l’AICA Caraïbe Sud, Dominique Brébion reconnait que, si l'on n'en nie pas l’existence, l’abstraction, géométrique est rare.

Gérald Alexis
Par Gérald Alexis
16 oct. 2018 | Lecture : 3 min.

Dans des notes réunies sous le titre « L’abstraction caribéenne : une abstraction divergente ? » et publiées sur le site de l’AICA Caraïbe Sud, Dominique Brébion reconnait que, si l'on n'en nie pas l’existence, l’abstraction, géométrique est rare. Chez nous, elle est celle que pratiquait souvent Antonio Joseph. Elle a aussi été celle qu’a préféré Jacques Gabriel et Philippe Dodard.

Dans son discours, Tiga nous emmenait loin tandis que Jacques Gabriel (1934-1988) n’allait souvent pas plus loin que lui-même. Non pour se vanter, il était

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.