Partis pour des raisons diverses, les Haïtiens à l’étranger n’ont jamais rompu les liens pour autant avec leur pays d’origine. Il y a un peu plus de deux décennies, les lettres envoyées par voie postale ou encore les cassettes étaient les moyens de communication les plus utilisés. S’en sont suivis le téléphone et Internet qui ont transformé le monde en un petit village. Pour marquer le lancement officiel du Centre d’études interdisciplinaires sur les médias haïtiens (CEIMH), les responsables ont jugé nécessaire de débattre de l’attachement d
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