Durant les vingt dernières années, l’anniversaire du naufrage du bateau « Fierté gonâvienne » (8 septembre 1997) a été marqué une ou deux fois - pas plus - par des manifestations publiques. Cette pratique de commémorer de pareils drames n’est pas encore installée chez les Gonâviens. Ils ne savent pas encore comment transmettre aux générations montantes la mémoire des évènements joyeux ou douloureux. Une brèche dans l’histoire de cette île qui n’a pas encore trouvé ses chroniqueurs.
L’année dernière, le vingtième anniversaire de la su