Voilà une manifestation picturale rare. Les œuvres et le décor architectural où elles sont présentées peuvent créer, sans faire trop de vagues, une petite révolution culturelle à Port-au-Prince.
Ce n’est pas un hasard. Une rétrospective de 90 tableaux de Robert Paret, faut le faire ! Mais, réaliser cette prouesse, par ces temps de négation de l’art et de rejet de l’identité nationale, dans un espace dédié aux « Mèt bitasyon d’Ayiti », les Taïnos, c’est une conjonction bien particulière dans le contexte.
On reprochait souvent. On