Les clefs du bonheur en Haïti : emploi, diaspora, religion et éducation

1 – Introduction Pour dépasser les limites du PIB comme mesure du bien-être, des auteurs comme Stiglitz et autres (2009) ont proposé le «bien-être subjectif» comme indicateur complémentaire qui saisit l’évaluation que les individus font de leur propre bonheur généralement sur une échelle de 0 à 10.

Par Joseph Harold PIERRE, 
économiste/Politologue 
@desharolden/ haroldpierre.epp@gmail.com
Par Joseph Harold PIERRE, économiste/Politologue @desharolden/ haroldpierre.epp@gmail.com
30 août 2018 | Temps de lecture : 6 min

1 – Introduction

Pour dépasser les limites du PIB comme mesure du bien-être, des auteurs comme Stiglitz et autres (2009) ont proposé le «bien-être subjectif» comme indicateur complémentaire qui saisit l’évaluation que les individus font de leur propre bonheur généralement sur une échelle de 0 à 10. S’il est certain que les résultats ne sont pas homogènes, car un même chiffre ne signifie pas nécessairement le même niveau d’autosatisfaction pour différents individus, les études comparées ont, cependant, donné des résultats cohérents.

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