Pour peu qu’on prenne la peine de s’aventurer dans un « lakou», l’on s’aperçoit combien les conditions de vie se sont effondrées. Les gens vivent empilés « pil sou pil». L’habitat n’est que nominal, en réalité les gens s’entassent dans des baraquements comme les images en donnent à voir dans les bateys. Le jour, pas moyen de vivre à l’intérieur de ces demeures de fortune. La chaleur est époustouflante. Les gosses criaillent. Les adultes s’énervent. Les adolescents, c’est-à-dire ceux parcourant le cycle fondamental et le cycle du nouveau sec
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