Le 13 juillet 2017, dans un éditorial, Le Nouvelliste a souligné que l’administration Moïse-Lafontant avait décidé dans son budget 2017-2018 de privilégier le Parlement au détriment de la santé.
Les deux chambres étaient dotées par décision de l’exécutif de 7.2 milliards de gourdes alors que le ministère de la Santé publique et de la Population héritait de 6.1 milliards de gourdes.
L’éditorial se concluait ainsi : « Il est évident que les responsables politiques ont fait un choix clair : privilégier le Parlement pour atteindre
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