Suite à l’augmentation des prix des produits pétroliers ayant provoqué des scènes de violence, de pillage, de déchoucage particulièrement à Delmas, à Pétion-Ville et à Port-au-Prince, du 6 au 8 juillet 2018, on reste toujours sur ses gardes.
Depuis ces évènements, dans certains bureaux de service public, on fonctionne au ralenti. Au tribunal de première instance de Port-au-Prince, les activités sont pratiquement paralysées. Ce n’est pas la même affluence au niveau des différents services comme le greffe qui chaque jour reçoit des décla