« Nous sommes d’autant plus blessées par le spectacle de cette petite fille contrainte de se mettre en scène de façon hypersexualisante, en échange d’une voiture », a indiqué cette note, signalant que de telles pratiques contribuent à légitimer l’exploitation des mineurs et les violences faites aux femmes. Ladite note a également souligné qu’elles participent à l’instrumentalisation de la vulnérabilité et du corps de la femme à des fins politiciennes.
La scène du Champ de Mars, le lundi 18 juin 2018, selon l’avis de plus d’un,