Les violences faites aux femmes en politique ne cessent d’attirer l’attention des organisations nationales et internationales. Bien que la Constitution amendée reconnaisse le principe du quota d’au moins 30 % de femmes à tous les postes de décision de la vie nationale, le constat révèle le contraire. La sous-représentation des femmes sur la scène politique en Haïti est souvent associée aux actes de violence que subissent celles qui se sont engagées en politique.
Les lois électorales et les chartes des partis politiques sont, se
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous