« C’est l’histoire de son dernier exil qu’il raconte dans L’effort dans le mal. Dans cet opuscule, le lecteur lira non sans un pincement de cœur les tribulations qui ont endeuillé les derniers jours d’un grand homme incompris et maltraité par un pouvoir ombrageux. Ce texte, le plus court qu’il ait produit, est son dernier. Son testament politique. Il meurt la même année », lit-on dans les notes biographiques. En effet, dédiés à l’époque au Sénat de la République ainsi qu’à la Chambre des communes, ces écrits de « l’ancêtre de la Négritude »
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