Les fidèles partisans armés de Jean-Bertrand Aristide étaient pointés du doigt. L'ordre des choses voulait que l'insécurité, qui a repris d'un cran depuis septembre 2004, soit imputée à ce secteur. Les vagues de violences, depuis la fin de l'année 2004 et le début de 2005, ont pris une autre ampleur. Le kidnapping est systématisé. Les vols de voitures aussi. Et la logique actuelle voudrait que d'autres secteurs de la vie nationale soient impliqués dans le cycle de violences impunies qui s'abat sur le pays, principalement à Port-au-Prince.
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