Roland Léonard
Dieu merci, il y a encore et toujours une jeunesse idéaliste. Celle qui aime les traditions culturelles de son pays, de l’enfance haïtienne, et qui songe à les sauvegarder. Elle est consciente du danger de l’acculturation, de notre perte progressive d’identité. Jeunesse admirative, des aînés, des valeurs solides. Celle qui veut approcher, sans frayeur, avec à la fois familiarité et respect de l’intimité, nos écrivains et nos artistes célèbres, incontournables, pour mieux apprendre d’eux.
« Pye m atè a Pradz » PATP