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Depuis le déclenchement des actes de violence dans la zone métopolitaine à la fin de septembre 2004, la morgue de l'Hopital de l'Université d'Etat d'Haïti reçoit chaque semaine entre quinze (15) et vingt (20) personnes tuées par balles, selon une source digne de foi. La majorité de ces personnes sont inhumées sans subir d'autopsie. Les proches des victimes sont privés en général de ce droit. Les rares autopsies pratiquées par un médecin légiste, le sont exclusivement à la demande du commissaire du gouvernement, défenseur de la société, ou du juge d'instruction. Considérant l'importance de l'expertise médico-légale dans une investigation criminelle, inutile de souligner que peu d'enquêtes sont dilligentées après ces homicides.
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