Il était environ 20 heures quand les premières touches musicales du pianiste vinrent arracher un silence aux spectateurs. L’attention était maintenant donnée aux trois jeunes femmes, trois amies, trois « kòkòday » se préparant pour un bal, retardées par les papotages qu’elles ont à partager, empreintes de haine, de dégoût, mais racontés avec une pointe d’humour. L’arrière-cour du restaurant, tantôt transformée en salle de bain, tantôt en chambre à coucher et tantôt en salle de maquillage, a été durant cette soirée la scène d’une plaidoirie t
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