Dans ce dossier, l’administration Moïse/Lafontant joue sur deux fronts : celui des négociations diplomatiques et celui d'une assistance humanitaire pour les déplacés. Même si selon le ministre des Affaires étrangères les informations qui circulent dans les médias et sur les réseaux doivent être prises au conditionnel, « il faut agir ». Il s’agit de « nos compatriotes », ont-ils rappelé. Forcés de quitter la province dominicaine de Pedernales de peur d’être massacrés par des Dominicains en colère, de subir des représailles suite au « décès d’