Des organisations de droits humains ont soutenu la mairie de Port-au-Prince à travers la décision d’interdire les propos malsains durant la période carnavalesque de 2018, ce dans l’idée de ne pas porter de préjudice à la dignité humaine, à l’intégrité morale et psychique de toutes les composantes de la société, notamment envers les femmes et les filles.
Le Conseil haïtien des acteurs non étatiques ( CONHANE), le Réseau national de défense des droits humains (RNDDH), la Commission épiscopale nationale justice et paix (CE-JILAP), le Cent
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