Au beau milieu des années 50, Gretta Lataillade, qui ne savait pas encore qu’elle allait devenir médecin, déambulait dans les rues de la capitale en quête du pain de l’instruction. Au lycée du cent-cinquantenaire de Port-au-Prince, elle faisait partie de cette génération d’espérance qui voulait traverser le temps en laissant des traces.
Elle a terminé ses études sous l’administration de l’ancien président François Duvalier à une époque où il fallait bien plus qu’un pas pour franchir la barrière de la Faculté de médecine et de pharmaci
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